« Il semble qu’effectivement
le syndic n’ait pas répercuté la baisse
et qu’il l’ait gardée pour lui…
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…Il y a sans doute d’autres exemples. »
Lors du Conseil municipal du 10 juin 2014, Monsieur le Maire s’en est pris aux syndics de copropriété de l’Avenue Anatole France à Clichy. Nous avions été informés, par plusieurs de ceux-ci, de la réception d’un courrier de Cofely Réseaux qui, avec 16 mois de retard, proposait un nouveau contrat associé au remboursement des trop-perçus depuis mars 2012. La baisse des tarifs de la SDCC n’avait, en effet, été répercutée ni aux syndics ni aux copropriétaires.
Certainement mal informé, Monsieur le Maire a accusé ces syndics d’avoir conservé pour eux les baisses en question.
Nous lui avons écrit pour rétablir la vérité dans ce dossier et les responsabilités réelles.
Empêtré dans le scandale du chauffage urbain, Catoire cherche à faire diversion.
Ferait bien de relire la parabole de la paille et de la poutre…
Quelle mauvaise foi de la part de Catoire et d’Auffret !
Ils sont prêts à tout pour tenter de rejeter sur d’autres les conséquences, désastreuses pour les clichois, de leur protocole du 21 décembre 2011.
Pourquoi cette sortie, digne d’un corbeau, contre des syndics clichois ?
En public et en direct devant une caméra!
Les grands électeurs, après les vacances, s’en souviendront.
A défaut du Sénat, il peut toujours rester à Clichy, choisir le Conseil Economique et Social, ou le poste d’ambassadeur au Maroc qu’il connaît bien et où il est bien connu…