- Un exemple de réelle renégociation d’une concession de chauffage déléguée à la COFELY à COMPIEGNE
1 – Une approche volontariste de la ville de Compiègne
20% de baisse sur un tarif déjà inférieur de 30% à celui de la SDCC en 2011 (avant le protocole)
2 – Une convention d’exploitation bien « bordée » car négociée avec volontarisme
– avec une égalité tarifaire réelle entre les utilisateurs : il n’y a pas de manipulation des puissances souscrites comme c’est le cas du protocole à Clichy. Le critère de base pour la tarification R2 est le même pour tous;
– une tarification finale du MWh inférieure de 30% avec la nouvelle tarification de Clichy (après protocole).
– des droits et des devoirs parfaitement définis alors qu’à Clichy ces droits et devoirs ne sont pas fournis aux utilisateurs (suppression volontaire de la référence à la police type).
(N.B. : ce document est également mis en ligne dans l’onglet « Copropriétés », ces derniers étant particulièrement concernés par la question de la discrimination tarifaire )
3 – Quand une mairie refuse les avenants proposés par Cofely :
Compiègne avenant cahier charges Cofely
- Le réseau de Saint Denis (93)
Il s’agit bien de St Denis dans le 93 et non à La Réunion. Et pourtant nous n’arrivons pas à obtenir les mêmes conditions que cette ville proche, au microclimat identique :
St Denis
La chaufferie biomasse de Saint-Denis
- Nanterre : récupération des eaux usées pour le chauffage
Une réalité à Nanterre (et à Levallois), un projet d’étude à Clichy à travers le protocole.
Cofely récupération la chaleur des eaux usées Nanterre
- Aix-en-Provence :
– 15 millions d’€ d’investissements pour 12 ans d’exploitation. A Clichy 4 millions pour 17 ans.
– 4,7 millions d’€ de subvention. A Clichy des subventions virtuelles.
Aix-en-Provence Cofely réseau de chaleur
- Soissons
– Puissance 5 MW – identique chaufferie bois du protocole de Clichy.Subvention assurée : le Fonds chaleur.